Projections des courts métrages réparties en deux séances :
lundi 28 avril et mercredi 30 avril.

Buffet dans le hall du cinéma
Séance suivie d’un débat public, puis d’une performance peinture-musique dans le hall du cinéma.

• Mercredi 30 avril 17h30, QUATRE COURTS MÉTRAGES
→ Argentine, Colombie, Pérou
Total 70’ • Premières • Fictions
→Compétition
→ Séance suivie d’un débat public, puis d'une performance peinture-musique dans le hall du cinéma.


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2024 • 17’ • Fiction • Première • Compétition officielle

Las olas que vendrán (Les vagues qui viendront) aborde la crise migratoire en Argentine à travers Ahmed,un réfugié nigérian à la recherche de son frère et d’une vie meilleure. Fernando, un avocat en crise existentielle, prend son cas et enfreint les règles pour l’aider. Le court métrage sensibilise à la migration, au regroupement familial et aux droits humains.

Agustín Berro Madero est un artiste argentin polyvalent, directeur de Selva Cine, une société de production indépedante de Buenos Aires. Il a réalisé, écrit, joué et composé de la musique pour divers projets, notamment des courts métrages, des documentaires et des longs métrages, dont Ayerza, Penelope et Las olas que vendrán. Lauréat du Metropolitan Fund for the Arts, il a présenté ses oeuvres dans
des festivals comme le BAFICI et sur des plateformes comme Amazon Prime.

2024 • 19’ • Fiction • Première • Compétition officielle

Une jeune mère, qui vit avec ses deux enfants Isa et Mono dans un quartier pauvre de Medellín, reporte la fête d’anniversaire de sa fille alors qu’elle est occupée à défendre celle-ci suite à un événement grave.

Andreas Acevedo est un cinéaste colombien qui s’intéresse aux jeunes qui grandissent dans les territoires de son pays les plus touchés par la violence et la marginalisation. Il s’efforce de raconter les possibilités de résistance à celles-ci : la recherche d’affection, la découverte de la beauté et les transformations personnelles des individus. Il a reçu des financements du ministère de la culture, du FDC et des subventions à la création de la municipalité de Medellín, entre autres. En tant que scénariste, producteur et réalisateur, il a réalisé les courts métrages Mundomalo, El olor de las flores, Como las mentiras, Afuera el mundo cae sobre mi cuerpo (Le monde extérieur tombe sur mon corps) et le long métrage documentaire Manita (Montage).
En tant que preneur de son, il a travaillé sur les longs métrages Cantos que inundan el río, Mariana, La Torre et plus de dix courts métrages. Il a également organisé des ateliers et des processus de formation via le cinéma et la photographie dans diverses communautés de Colombie, d’Équateur et d’Argentine avec le collectif K-MINANTES. Il a été sélectionné pour Talents BA, Fenavid 100×100, le laboratoire de montage de MIDBO, WIP Voces Afro Indígenas du Festival du film latino-américain de Vancouver et le DocuLab de FICG, entre autres.
Il écrit actuellement son deuxième long métrage, Conga.

2024 • 18’ • Fiction • Première • Compétition officielle

Dans la solitude des hauteurs, Hermitaño et Doña Santos, agriculteurs dévoués à la conservation des variétés de pommes de terre indigènes, prennent soin de leurs semences comme leurs enfants, héritage
de l’époque inca. Face aux ravages du changement climatique et du vieillissement, leur passion se renouvelle chaque année dans l’espoir de remporter le concours de pommes de terre indigènes à Julcán, craignant que leur héritage ne soit perdu en cas de mort…

Ronal Arancibia a étudié à l’Université Antenor Orrego, en sciences de la communication. Il a collaboré à des longs métrages tels que Basilio y el Mar et Nativa est son premier film en tant que réalisateur. Il a participé à ACAMPADOC, TRANSFRONTERA et à l’École amazonienne du Cinéma

2023 • 14’ • Fiction • Première • Compétition officielle

Ana est une jeune adulte qui vit seule, étudie à l’université et a un meilleur ami nommé Lucas. Ils passent le plus de temps possible ensemble. Ils jouent aux cartes, regardent des films, tentent d’étudier ou écoutent leur album préféré, « Bocanada » de Cerati. À la mort de Lucas, la vie d’Ana change. Elle tente de faire face à son chagrin tandis qu’une étrange présence commence à envahir sa maison.

Ronal Arancibia a étudié à l’Université Antenor Orrego, en sciences de la communication. Il a collaboré à des longs métrages tels que Basilio y el Mar et Nativa est son premier film en tant que réalisateur. Il a participé à ACAMPADOC, TRANSFRONTERA et à l’École amazonienne du Cinéma